J'avoue ne pas bien connaître le coran. J’avais entrepris de le lire, mais j’ai manqué de patience face à ses recommandations persécutrices, quoiqu’il y a biens des passages souhaitables de miséricorde par exemple. Il en demeure pour moi que le coran garde trop de contraintes face à la liberté, la charité, le pardon. Il est pour moi bien malheureux que tant de bon gens sont privé de la vérité par l’incompréhension d’une minorité qui ne cherche pas le sens de l’amour mais le sens de la tyrannie, c’est à dire que la servitude n’a pas plus de valeur lorsqu’elle est offerte en comparaison d’une servitude obligatoire.
Le reflet que j’ai de l’ensemble du coran est certainement injuste pour en avoir lu qu’une infime partie, mais la sagesse si on peut la reconnaître, me semble venir en partie de la bible. Le coran s’enfonce dans un regard semblable à l’ancien testament. Pour ce qui est de Jésus de Nazareth, le coran a choisi de se mettre à dos les chrétiens dans l’espoir, je crois, de s’identifier différent pour la guerre entre civilisation, mais cela au détriment de la vérité que les chrétiens de leur époque n’ont pas su représenté.
Je connais certains passages par recherche google. Mais j’ai toujours la bible à relire pour mieux comprendre et mieux être.
Jésus a dit qu’il fallait suivre les écritures, tant que le ciel et la terre ne passent, et suivre les écritures de façon stricte, comme je l’imagine pour le genre de l’époque. Mais le ciel et la terre ont passé pour Jésus par sa mort sur la croix. Il est demeuré trois jours dans l’abîme, puis il est ressuscité. L’espoir demeure maintenant dans les paroles du Christ.
Manger le seigneur signifie de croire en sa parole, en sa mission, on peut reconnaître que si le Père est toujours patient avec l’humanité, c’est que Jésus lui a obéi sous la forme humaine avec toute les contraintes que cela implique pour un être sensible. Il nous est donc toujours possible de jouir de la vie grâce au seigneur et même de considérer une meilleur vie éternelle.
Aussi, je crois qu’il y a une bénédiction qui nous renforce dans le sacrement de la communion, mais cela dépend des congrégation, certaines ne pratique pas la communion; je crois que la manière de pratiquer les rites demeure un choix libre et que la variété donne à chacun une authenticité où l’amour peut grandir. Il y a les repas familiaux où plusieurs aiment faire grâce.
Le christ est conscient de l’interaction amoureuse entre lui et le Père. Et pour cela il doit sacrifier sa vie et renaître pour que l’Esprit Saint se propage, c’est à dire la vérité.
Si l’humanité aurait toujours vécu par amour les uns pour les autres, il n’y aurait jamais eu de guerre et le même principe aurait été appliqué à l’environnement qui est tellement négligé.
Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous.
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