Sunday, October 4, 2020

L’Islam ne connait pas l’Évangile pour ne pas la reconnaître.

 L’Évangile c’est le summum de la paix. L’Islam est un paradoxe de l’insignifiance où on prétend rechercher la paix mais cela en faisant la guerre. Les musulmans modérés veulent croire que les mentions de guerre du coran coïncides avec des temps où les islamiques sont sur la défensives donc en guerre, mais la vérité est que pour l’Islam il n’y a aucune mention de temps de paix pour l’humanité tant que le monde n’est pas entièrement islamique, et pourtant l’amour est l’accomplissement de la loi...

Dans le coran, on apprends que Dieu, Allah, a procuré  l’évangile pour l’humanité. Malheureusement, les musulmans n’apprennent rien du meilleur enseignement de l’évangile. L’Islam se traduit par la soumission, et l’évangile est la bonne nouvelle de la liberté.

L’heureuse liberté a coûté des souffrances mortels endurées par le Christ, le messie, des souffrances qui incitent la compassion chez certains chrétiens qui se soulage en se séparant de leur mieux être pour le bien des autres.  Mais l’Islam rejette qu’il y a eu une participation divine sur terre en affirmant que Dieu est complètement au delà pour s’approcher et être impliqué d'une façon terrestre. 

Encré dans une soumission stérile comparable à le parabole des talents (Mathieu 25,14-30),  où celui qui ne sait pas prendre de l’expansion ne sait que se caché, l’Islam refuse son appuis pour soutenir la vérité du christianisme. Mais le christianisme, c’est aussi la possibilité du  pardon malgré tout; dans Romains 11 on peut conclure que Dieu sauve qui Il veut et qu’il faut espérer dans la miséricorde. Et pourtant, lorsqu’on suit les fait et la vérité, on trouve  la liberté par la grâce du seigneur Jésus, lui qui par sa soumission devient le guide de l’humanité.

La liberté chrétienne est contagieuse mais parfois faussement imité. Il y a tellement de gens qui ne reconnaissent pas l’enseignement qui oblige d’en remettre au prochain où on doit se reconnaitre dans la charité, pratiquer les bonnes oeuvres pour le bien de tous comme peut aussi enseigner l’Islam pour les musulmans. Le chrétien doit savoir partager ou du moins vouloir apprendre comment s’impliquer pour le bien des autres. Mais le christianisme connait aussi les pires exemples  avec les prêcheurs de prospérité; ces prêcheurs du genre Kenneth Copeland qui développe une prospérité lucrative et qui déforment la prospérité de l’âme où l’évangile enseigne le dévouement de l’un pour l’autre, un dévouement dans le but de progresser collectivement sur terre vers une récompense ou un repos éternelle par la grâce divine et non vers une richesse artificielle terrestre. Les prêcheurs de prospérité netiennent pas compte des avertissements, et n’enseignent en sommes qu’une forme d’égoïsme où le but parait être la cupidité où le succès est la liberté financière.

Si l’Islam encourage le sacrifice et le retenu par la soumission, on néglige les femelles aussi créées à l’image de Dieu. Le christianisme enveloppe toute l’humanité pour un mariage heureux avec la liberté de choix. Malheureusement, je ne crois pas qu’il y a un passage dans le coran qui permet une transmutation vers le christianisme, au contraire, la liberté est condamné. Malheureusement, pour les musulmans qui ne veulent pas changé, le coran s’auto détruit car en affirmant que Dieu a fait parvenir l’évangile et en affirmant que le Christ n’a pas subit la mort donc pas vécu de résurrection, on ne respecte pas cette leçon de la parole qui est contenue dans l’évangile, la bonne nouvelle de Dieu avec nous, ce qui libère de la mort ; on a donc là un paradoxe. 

Un homme ordinaire tel un prophète ne suffit pas pour accomplir la libération de l’humanité. La leçon, c’est que Dieu a oeuvré pour que l’on court vers Lui librement les bras ouvert. Comment pouvons nous ne pas espérer dans le pardon de nos fautes avec l’aide du Christ lorsqu’on constate le prix à payer? Seulement, ce ne sont pas tous ceux qui appel seigneur, seigneur qui sont accueilli mais ceux qui font la volonté du Père; mais il y a l’Esprit Saint qui peut nous rejoindre pour que maintenant à notre tour, chacun de nous, on trouve grâce devant Dieu. Si tout dépend de soi-même, c’est qu’il faut apprendre la charité et ensuite espéré savoir y vivre; là, la parole nous retient pour le seigneur Dieu. Si on est fautif, il faut savoir demander pardon et espéré dans la miséricorde où la grâce par Jésus Christ existe car il est plus qu’un prophète mais l'envoyé du Père, le rédempteur qui a réussi.

https://suivrelamour.blogspot.com/2018/06/titre-venir-travail-en-construction.html

Que la grâce du seigneur Jésus soit avec tous.