samedi 10 août 2019

Participaction


Participaction, est un terme qui a été employé pour promouvoir l’activité physique au Québec. Maintenant, j’utilise se terme pour promouvoir une spiritualité infaillible qui rappel les choses à venir, et la promesse de la vie éternelle. Il m’est évident que la nécessité actuelle, comme depuis toujours, est de développer ses muscles de l’âme, et cela commence par la connaissance de la vérité. Le bien de l’âme découle de l’amour et il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis, c’est la base de la résurrection pour la vie éternelle que nous donne la parole. Il faut savoir participer, et cela n’implique pas de se départir des joies de se monde mais plutôt de savoir les partager, car il ya plus de plaisir à donner qu’à recevoir.

L’Islam ne repose pas sur la spiritualité mais sur une soumission grotesque et charnelle par peur de ne pas être crédible auprès de Dieu. J’y reconnais la parabole des talents enfoui dans la terre où il y a une absence de participation active et constructive. Il faut reconnaître les faits annoncés, présents et futur où l’Amour règne. Il faut se libérer de la tromperie qui ne sait pas évoluer…

Il faut faire plus que porter une simple tenue vestimentaire, et surtout, il faut faire preuve de patience,  il ne faut pas  accusé l’autre pour son propre manque de retenu ou de caractère, il faut cesser la subjugation de la femme, et que dire des lois draconiennes qui protège les nantis? Si la zakat est insuffisante comme filet social et que la salat porte à la guerre où est la spiritualité que Dieu estime?

Il faut abolir l’égoïsme où la jouissance de ses sens devient tout, et renaître gratifié où nos sens nous serve avec nos émotions et notre pensé. Il n’est pas question de libertinage mais il ne faut pas non plus juger selon les apparences. La patience fait preuve de grâce où on réalise que parfois la vérité prends le temps de se faire connaître.

Malheureusement, il faut établir une meilleur tradition, c'est-à-dire de rappeler le meilleur enseignement. Je remarque dans nos malheurs au Québec que la population s’entraide, mais le bénévolat me semble diminué car parfois on ne sait plus étendre notre générosité, l’appât du gain nous engourdi dans un monde de consommation. On a tous une multitude d’intérêts et d’occupations, travail et loisir; certains métiers demande plus de rationalité ou de sang froid comme aussi certains loisir sont exigent ou compétitif. On peut  rencontrer ses obligations  physiques sauf qu’il ne faut pas oublier l’Esprit Saint, le consolateur, où le bien de l’âme nous est rappelé. Le Notre Père, la prière donnée par Jésus est plus qu’une méditation, c’est une formule que l’on doit aussi pratiquer avec nos propres mots. La prière est à la base de la paix, il est consolant de le reconnaître, Ésaïe 44 :6 Ainsi parle l'Eternel, roi d'Israël et son rédempteur, L'Eternel des armées: Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu Ésaïe44 :7 Qui a, comme moi, fait des prédictions Qu'il le déclare et me le prouve!, Depuis que j'ai fondé le peuple ancien? Qu'ils annoncent l'avenir et ce qui doit arriver!
Ésaïe 63 :16 Tu es cependant notre père, Car Abraham ne nous connaît pas, Et Israël ignore qui nous sommes; C'est toi, Eternel, qui es notre père, Qui, dès l'éternité, t'appelles notre sauveur.

Il faut agir pour le seigneur, et cela signifie de le reconnaître comme sauveur, puis de suivre ses commandements, donc de participer activement à l’œuvre de Dieu. Si la foi est morte sans les œuvres, c’est la grâce qui nous sauve et non les œuvres. Ainsi, on ne peut pas acheter sa bénédiction, seulement il faut la vivre. Dieu nous demande l’impossible où la mort peut s’en suivre, mais c’est la foi qui nous procure le nécessaire si on a tout donné de son avoir. En sommes, je crois qu’il faut vivre avec l’idée de tous donné, et de préférence avant demourir

Il y a une plénitude d’œuvres que l’on peut accomplir pour circuler dans le bon chemin, et souvent des gens de toutes croyances savent y circuler.  Mais où est donc le vrai chemin? De le connaître et de le suivre, c’est deux, car de suivre le bon chemin, c’est la seule manière pour affirmer le connaître.
Je suis toujours en construction, et je ne peux que devenir saint que par la grâce, et cela probablement à ma mort où je ne peux pas rendre tous mes comptes, car l’emprise de se monde me poursuit avec toute ses caprices qui ne sont que charnelles ou sensuelle, que je consomme ou contemple avec peu de sagesse que ce soit la nourriture, la boisson, la luxure etc.. Mais l’âge approche où la sagesse recherche de plus en plus ce qui est spirituelle ou charitable. Dans ma solitude, semblable un orphelin, depuis  surtout les deux dernière décennies, je remarque le monde autour de moi comme il est parfois charitable et tantôt insoucieux des autres et de Dieu.

Les saints sont ceux qui naissent de nouveau. Je trouve 1Jean5 :18 bien à propos: Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pèche point; mais celui qui est né de Dieu se garde lui-même, et le malin ne le touche pas.
Quoique Jean soit définitivement un saint, la plupart de nous demeurons pécheurs, et Pierre qui est renommé être un rocher a même renié le seigneur 3 fois en peu de temps. C’est qu’il faut demander de l’assistance et espérer vivre sans faire de mal aux autres. Seulement, comment peut-on abandonné les autres qui souffrent? Ce n’est pas justifiable, à moins d’être troublé soi-même...
L’allégorie de la femme libre et de la femme esclave demeure pour moi la vérité où on doit suivre la liberté et rejoindre la Nouvelle Jérusalem. L’Islam, c’est la façon la plus simple et facile de poursuivre son chemin, mais c’est un chemin dans la noirceur, un chemin où les fruits sont amers et qui détruisent toutes paix naturelles qui vient des meilleurs intentions, ces intentions librement choisies par un cœur honnête.

Les fruits de l’esprit sont mentionnés favorables au détriment des fruits du mal que sont les œuvres de la chair. L’Islam semble combattre le mal mais ne retient pas la charité où la patience règne. Si un reste seulement survie, ce sera un reste naturel où le meilleur esprit a fait son œuvre.

Si la sélection naturelle de Darwin est vraie, je crois que c’est par choix que cela se produit, et non par imposition. Quoiqu’il y a aussi contre Darwin, la création spontanée qui dépasserait l’évolution, mais j’ai lu très peu sur le propos…Donc, comme la nature s’adapte, la soumission doit être volontaire où chacun a une connaissance du bien et du mal, autrement, il ne s’agit qu’une idéologie de manipulation humaine où ceux qui sont en haut de la pyramide sont les seul heureux sur terre. Le bon choix, c’est la conviction qui nous élève lorsqu’il s’agit de la vérité qui nous libère, c'est l'arbre de vie.

La soumission de l’Islam ne porte pas d’amour, au contraire, l’amour en est enlevé. Il n’y a pas d’amour dan la peur mais plutôt la reconnaissance de ses fautes. Le début de la sagesse est d’avoir la crainte de Dieu, mais Dieu est Amour, et l’humanité est porteuse d’amour, il faut seulement se prévaloir  du fait que Dieu est Amour et qu’Il nous donne le nécessaire pour accroître notre sens de l’Amour, et là, la réalité spirituelle exige que l’on soit libre de choisir son parcours.

Il faux que les musulmans se libèrent de leur prison et se convertissent au christianisme pour glorifier le seigneur en profitant de leur liberté qui demande une soumission volontaire où il est toujours possible de se relever lorsque l’on tombe puis qu’on demande pardon.

Dans le monde musulman ou islamique, c’est la femme qui porte la croix, et malheureusement, ce monde ne croit pas en l’assistance divine mais plutôt dans la tromperie pour conquérir. Et que laisse derrière eux des siècles de conquêtes islamiques?Des peuples qui se mutilent physiquement et moralement.  Pourtant, le créateur donne, et on ne sait comment l’apprécicié en demeurant loin de Lui. Il faut penser à faire sa part avec l'époux.

Que la grâce du seigneur soit avec tous!

Aucun commentaire:

Publier un commentaire